C’est la décrispation. Du moins, entre civils. Que faire pour les trois mille Ivoiriens dont les vies ont été sacrifiées ? Tout cela est passé en perte et profit. Reste le cas des Sodja qui ont été priés de rejoindre leurs cellules. Eux qui ont sué et saigné sous les ordres et contre-ordres. Mon grand-père a dit : quand on t’envoie, il faut savoir t’envoyer.