Des années en arrière, être étudiant était un privilège. Fouler le sol du campus était un rêve. On potassait donc pour franchir la porte de l'univers des cités. Afin de sortir pour participer à l'économie nationale. Aujourd'hui, les rêves se sont effondrés. Nous sommes tous responsables. C'est pourquoi nous devons œuvrer ensemble. Pour ne pas que l'idée créatrice, socle de toute société, ne meurt.