Le tatami est en feu. Entre les maîtres de « la voie du pied et du poing » et les garants de l'olympisme. Si les seconds ont prononcé leur destitution, pour les premiers, cela est un épiphénomène. L'instance mondiale leur ayant donné quitus. C'est le cas de le dire, il ne fait pas honneur d'être aux premières loges d'un tel pugilat. D'autant plus que nous sommes en sport, on se doit de prôner le fair-play.