Le temps continue d'être glauque. L'atmosphère devient de plus en plus lourde. Et l'étendard éburnéen n'a de cesse de perdre son éclat. Pis, les uns et les autres semblent avoir perdu la tête. Le comble, ils espèrent triompher d'un ennemi. Qui, pourtant, a le même visage qu'eux. Triste, il n'y a rien de nouveau sous le soleil. Dans ce combat contre soi-même, on s'égosille. En lâchant toujours la proie pour l'ombre.