Sommet Corée du Sud-Afrique : Ouattara à la recherche d’expertise dans les intelligences artificielles

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sommet-coree-du-sud-afrique-ouattara-a-la-recherche-d-expertise-dans-les-intelligences-artificielles Alassane Ouattara, président de la République de Côte d’Ivoire
High tech

En recherchant des expertises en intelligence artificielle à Séoul, le gouvernement montre que c’est un secteur porteur pour tout ceux qui développeront des compétences dans ce domaine. 

Le président de la République de Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara et plusieurs membres de son gouvernement ont pris part au premier sommet Corée du Sud-Afrique qui s’est tenu du 4 au 5 juin à Séoul. 

Expertise en intelligence artificielle 

L’objectif, faut-il le rappeler, était de dynamiser les relations politiques, mais surtout économiques entre l’Afrique et le « pays du matin calme ». 

Mais l’objectif pour la Côte d’Ivoire, comme publié sur X par le Chef de l’État, était de renforcer l’expertise dans les domaines de l’intelligence artificielle et booster les échanges commerciaux. 

« Ce mardi, à l'occasion du 1er Sommet Corée - Afrique, nous avons évoqué la nécessité d’étendre le partenariat entre l’Afrique et la Corée au domaine de l’intelligence artificielle, d'accroître davantage nos échanges commerciaux», peut-on lire sur le compte X de la présidence de la République. 

Une niche d’opportunités

À travers cet ambition, le gouvernement veut booster l’usage de l’intelligence artificielle qui s’applique de plus en plus dans tous les secteurs d’activités. 

C’est le lieu pour les uns et les autres de faire des expertises en intelligence artificielle qui se présente à l’horizon comme une véritable niche d’opportunité.

Au cours de ce sommet, la Côte d’Ivoire a pu obtenir un prêt de 600 milliards de francs CFA. 

L'enveloppe financière, qui sera allouée sur la période 2024-2028, servira à financer divers projets de développement en Côte d'Ivoire, couvrant des secteurs essentiels tels que l'infrastructure, l'agriculture, la technologie et l'innovation.

Rappelons que 48 pays africain ont pris part cette première édition.