
La dernière réalisation de Brad Anderson est un savant mélange d’action et d’amour. Une histoire d’amour sur fond de terrorisme, c’est la combinaison réussie de ce film de Brad Anderson, « Opération Beyrouth ».
L’histoire prend sa source en 1972, avant le début de la guerre du Liban. Le diplomate américain Mason Skiles, sa femme et Karim, un orphelin libanais de 13 ans qu’ils adoptent. Les choses vont prendre une autre tournure lorsque, les relations du jeune homme vont conduire le couple au cœur d’une situation à l’issue de laquelle, Nicole, l’épouse du diplomate sera tuée. De retour aux Etats-Unis, le fonctionnaire n’arrive pas à se sortir de cette impasse. Lorsqu’il est choisi pour revenir sur les lieux de cet épisode douloureux, dix ans plus tard, pour négocier la libération d’un agent de la Cia, qu’il avait connu par le passé, Mason Skiles s’attend sûrement à retrouver de vieux démons mais pas Karim. Désormais à la tête d’un groupe terroriste, c’est avec le jeune homme qu’il devra négocier pour faire libérer l’agent. Ce dernier, demande en retour la libération de son frère Rafik, un terroriste notoire.