
2025 atteint ses 100 premiers jours ce 10 avril et Trump en 80 jours seulement, a mis en doute et quelques fois en déroute plus d’un avec cette guerre derechef entre le pays de Mao Zedong et celui de Albert Einstein. Parce que le 47e Président étasunien est allergique à la douceur, les chocs et coups durs vont pleuvoir à tout moment. Donald Trump qui montre anti-pusillanime, se passe du concept de « soft power » comme stratégie catalyseurs de la diplomatie américaine.
Ce fightspirit orageux repose sur l'influence culturelle et idéologique plutôt que sur la coercition militaire ou économique. L'évolution récente de la politique étrangère des États-Unis dénude cette impertinence de la « tactique Trump 2.0. Sous la présidence de Donald Trump, une nette préférence pour le « hard power » s'est manifestée, reléguant le soft power au second plan.
America First
La plate-forme de l’Agenda 47 prévoyait des tirs groupés contre le climat, l’homosexualité, l’aide au développement, l’immigration. Il était prévisible que sa faisabilité un risque d’inflation et de chamboulement de la bienséance diplomatique. Cette approche de l’Administration Trump privilégie les rapports de force directs avec des puissances comme la Chine et la Russie, ainsi qu'une domination plus explicite envers des nations moins influentes. Bien que séduisant en théorie, le « soft power » a ses détracteurs.
Certains estiment qu'il masque les véritables enjeux géopolitiques et que son efficacité est limitée face aux réalités du pouvoir international. La montée des nationalismes agressifs et le réarmement global illustrent les défis auxquels cette approche est confrontée : négoce, nucléaire et nationaliste à outrance.
L'évolution de la politique étrangère américaine, oscillant entre « soft power » et « hard power », reflète les tensions inhérentes à la gestion de l'influence mondiale. Alors que le « soft power » offre une approche moins coercitive, son efficacité dépend largement du contexte international et de la perception des acteurs mondiaux. La remise en question de cette stratégie souligne la complexité des relations internationales contemporaines.
Mettre les intérêts américains au premier plan et faire payer l'Europe
Concernant sa politique environnementale, Donald Trump prévoit de quitter une seconde fois les accords de Paris, tout en rejetant l'objectif posé par le président démocrate Joe Biden d'atteindre 67 % de voitures électriques parmi les nouvelles automobiles produites d'ici 2032.
Du côté de la justice, Trump mentionne comme objectif de « renvoyer les procureurs marxistes radicaux détruisant les États-Unis ». Le potentiel futur président propose de nommer 100 procureurs alignés sur ses vues pour investiguer les actions de ces procureurs « marxistes radicaux », et de nommer un groupe lié au Département de la Défense chargé de « protéger le droit à l'autodéfense ».
🚨🇨🇳🇺🇸 ALERTE - LA CHINE IMPOSE 84% DE DROITS DE DOUANE AUX ÉTATS-UNIS. pic.twitter.com/EpFHBvjyXJ
— AlertesInfos (@AlertesInfos) April 9, 2025