Côte d’Ivoire : Report du Dialogue politique, 17 000 forces de défense pour la sécurisation du pays, des intoxiqués dans un camp de prière

Le dialogue politique reporté

La première séance de travail du dialogue politique prévue le mardi 21 décembre 2021 a été reportée à une date ultérieure. « 2^ème rencontre du dialogue politique,  voici les raisons du report », publie Notre Voie expliquant que certains partis politiques n’ont pas encore remis leurs propositions de thèmes.

La veille, un courrier du gouvernement annonçait le report du rendez-vous pour le mardi 28 décembre

« 5^ème phase du dialogue politique, les vrais raisons du report, quand l’opposition joue déjà le pourrissement », table à sa grande Une Le Patriote.

17 000 gendarmes, policiers et militaires déployés pour sécuriser le pays

Les fêtes de fin d’années approchent et plusieurs actions sont mises en oeuvres pour qu'elles se passent bien. Pour la sécurisation du pays, 17 000 forces de l’ordre et de sécurité sont déployées  dans toute la Côte d’Ivoire. « Sécurisation des fêtes de fin d’année, 17 000 policiers, gendarmes et militaires déployés sur le terrain », informe Fraternité Matin.

Éviter les excès de toutes sortes, se conformer aux règles du code de la route

Dans l’article, le chef du bureau d’information et de presse des armées appelle les populations à « éviter les excès de toutes sortes, se conformer aux règles du code de la route et se soumettre avec courtoisie au contrôle des forces de sécurité ».

Des fidèles meurent d’intoxication alimentaire dans un camp de prière

« Une séance de prières tourne au drame à Yopougon, des fidèles retrouvés morts », écrit Soir Info qui explique que les pensionnaires du camp de prière situé à Yopougon Kilomètres 17 (ancien corridor) ont été pris d’un malaise aux premières heures du mardi 21 décembre suite à une nourriture qu’ils « auraient consommé ».

« Yopougon, Une intoxication alimentaire dans un camp de prières fait 18 victimes et 2 morts », informe L’Inter, précisant que 5 cas parmi les 18 victimes sont jugés préoccupants.

Sandra KOHET