Côte d'Ivoire : De curieux objets tombent du ciel ; ce qui se passe dans les cimetières de Yopougon et d'Abobo ; les juges donnent raison à Gbagbo

« De curieux objets tombent du ciel dans des villages dont celui de Mangoua Jacques », barre à sa Une Soir Info. Ce journal indépendant ajoute que ce phénomène a suscité la panique au sein des populations quand les Forces de défense et de sécurité s'y sont déployées en masse. « Les populations seront surprises lorsqu'elles voient un objet non identifié, long de 4 mètres, tomber du ciel, juste derrière la maison du retraité Kouamé Kouakou, dans un anacardier. N'guessankro est en mouvement. De partout, les populations accourent pour voir l'objet de curiosité », rapporte le confrère. Qui fait observer que ces événements ce sont produits à quelques encablures de la résidence cossue de Mangoua Koffi Jacques, président du conseil régional du Gbêkê.

Pour sa part, L'inter s'est intéressé à « ce qui se passe dans les cimetières de Yopougon et Abobo », en cette période de Covid-19. Comment la morgue de Yopougon vit-elle les mesures de restriction liées à cette pandémie ? Un reportage qui fait dire à ce journal que la Covid-19 tue la ferveur aux enterrements. « Les obsèques ont vraiment changé à cause de la covid-19. A la douleur de la perte d'un être cher, s'ajoute désormais la frustration de ne pas assister comme il se doit à l'ultime séparation », se désole L'inter.

Le Quotidien d'Abijan a, quant à lui, mis en avant la bataille juridique qui se déroule à la Cour pénale internationale (Cpi). « Les juges donnent raison à Gbagbo », titre ce journal. Qui informe qu'avant l'audience du 27 mai 2020, le juge Chile Eboe-Osuji qui préside la chambre d'appel a ordonné au greffe de reclasser un document comme publique, tel que l'avait souhaité la défense de Laurent Gbagbo.

Terminons cette revue de presse par les nouvelles « fraîches » en provenance de Paris, concernant le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly. « Le chef de l'État et le Premier ministre ont échangé hier, par visioconférence », présente Fraternité Matin.

Jonas BAIKEH