
61 Degrés. C’est ainsi que s’intitule un site dédié à la cuisine mais oubliez les la cuisine de recette de grand-mère. Ici, on parle thermoplongeur, lactofermentation, cuisson à basse température, fleurs comestibles et main de Bouddha avec Claire Asfaux et Cédric Tomasini.
On les connaît un peu partout en France, et même dans le monde, sous le nom de Degrés mais à l’état civil, ils sont Claire Asfaux et Cédric Tomasini. Ils doivent ce nom d’emprunt à leur site Internet : 61 Degrés, un site riche de plus de 1 000 articles écrits en sept ans d’existence. « 61 degrés, c’est la température de cuisson de l’œuf Onsen comme les bains d’eau chaude naturelle au Japon », précise Claire.
« La cuisine que nous mangeons tous les jours »
À l’inverse de ce que pourrait laisser penser un coup d’œil trop rapide, 61 Degrés serait un site de cuisine ordinaire. « C’est la cuisine que nous mangeons tous les jours ou presque, assure Cédric. À la base, on n’est pas du tout de ce domaine et on se dit que si nous arrivons à faire cette cuisine, tout le monde peut la faire. » Les Degrés ont une agence de communication à Dole, lui est designer, elle développeur. « L’origine de 61 Degrés, c’est qu’à un moment, on a eu besoin de se raccrocher à quelque chose de plus réel, de plus matériel et de plus humain, raconte Claire. Quoi de plus fédérateur que la nourriture ? »
Les Degrés commencent à se faire un nom et un réseau également sur un plan local.
On les connaît un peu partout en France, et même dans le monde, sous le nom de Degrés mais à l’état civil, ils sont Claire Asfaux et Cédric Tomasini. Ils doivent ce nom d’emprunt à leur site Internet : 61 Degrés, un site riche de plus de 1 000 articles écrits en sept ans d’existence. « 61 degrés, c’est la température de cuisson de l’œuf Onsen comme les bains d’eau chaude naturelle au Japon », précise Claire.
La cuisine sous son plus beau jour
À l’inverse de ce que pourrait laisser penser un coup d’œil trop rapide, 61 Degrés serait un site de cuisine ordinaire. « C’est la cuisine que nous mangeons tous les jours ou presque, assure Cédric. À la base, on n’est pas du tout de ce domaine et on se dit que si nous arrivons à faire cette cuisine, tout le monde peut la faire. » Les Degrés ont une agence de communication à Dole, lui est designer, elle développeur. « L’origine de 61 Degrés, c’est qu’à un moment, on a eu besoin de se raccrocher à quelque chose de plus réel, de plus matériel et de plus humain, raconte Claire. Quoi de plus fédérateur que la nourriture ? » « C'est Internet, notre localité »
Des fournisseurs partenaires leur permettent d’avoir accès à des produits de qualité et ils ne négligent bien évidemment pas les producteurs locaux mais avec une audience nationale, 61 Degrés n’a pas grand-chose à leur apporter. « Du fait qu’on n’est pas restaurateurs, précise Cédric, on n’a pas à exister à tel ou tel endroit. C’est Internet, notre localité. »
Rien que sur leur mur Facebook et en dehors des groupes thématiques où les Degrés attirent encore plus de monde, 9 600 followers hédonistes se régalent de leurs recettes et de leurs préparations d’ingrédients mais aussi du ton très moderne avec lequel ces communicants savent partager leurs expérimentations qui tiennent parfois de l’expérience futuriste.
Source : LE PROGRES